alors voila mon idée: si je me souvien bien un kit de transmission par couroie pour notre belle coute dans les 2000€! un peu cher pour deux bout d'alu usiné!!! a coté de mon taf il y a une boite de mecanique de precision qui taf entre autre pour renault F1! quelqu'un aurait il par le plus grand des hazard des plans ou des cote pour lui demander un devis!? d'avance merci

je crois que le plus important est de connaitre surtout la largeur de la courroie et le pas (espace entre les dents)

voici la photo du matos pour xjr, a defaut de côtes :

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pour 1.095,00 EUR

le site (teuton) [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

cela vous a traversé l'esprit de monté une couroie? moi jamais
les plus ?
les moins?

allez y je vous ecoute:

r'alain a écrit:

cela vous a traversé l'esprit de monté une couroie? moi jamais
les plus ?
les moins?

allez y je vous ecoute:

le seul plus que je vois c 'est l 'entretien .. plus de graissage

moi je n'y voie qu'incoveniant la perte de puissance.
le jeux en vaut'il la chandelle?

Tophe a écrit:

r'alain a écrit:

cela vous a traversé l'esprit de monté une couroie? moi jamais
les plus ?
les moins?

allez y je vous ecoute:

le seul plus que je vois c 'est l 'entretien .. plus de graissage

Et le prix d'une courroie qui doit certainement être moins chere qu'un kit transmission complet...

Les BUELL sont à courroies non? Question couple et puissance, elles se tiennent me semble t'il...C'est cher, très cher, mais pas con. Et quelle gueule.

voici les photos du Xjr 130 avec courroie

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si c'est bien fait, il n'y a pas de perte de puissance.
il y a gain de soupellese, pas d'accoup

maintenant si u veux fairela modifitoi même:
1 tu connait le pignon Av et Ar (le Ø moyen 1/2dent)
2 tu connais la distance entre les 2 axes
3 tu peux calculer le rapport
4 tu trouve un catalogue prud'homme ou tu vas sur leur site :study:
5 t'essaie de trouver l'equivalence.
6 - pour les roues crantés, il peuvent, peut etre ,exister en commerce. Il est permis de croire au pere noel. . Je pense que tu est bon a les prendre plein et a les faire usiné
7- la courroie peu se commander sur mesure, renforcer, avec le pas que tu as besoin.

Nota: pour te rapprocher de ta photo, fais un produit en croix .Tu as les données. Attention ce ne seras qu'une info.
c'est le plus simple pour la courroie ( pas largeur) attention les roues vont avec

la courroie cranté j'ai dans le catalogue W&W 2007 je fait une photo si vous voulez.

Même si c'est bien fait, il y a une perte de 10 ch, c'est pas rien!

Christian

et pourquoi cette perte de 10ch??

c'est du à une perte de rendement, la chaine à un rendement de l'ordre de 98%, la courroie beaucoup plus élastique, fait perdre du rendement, donc perte de puissance.

les buell de compétition ont une transmission par chaine

la vache!!! 10 ch!!! je pensai que c'etait plus efficasse que ca!!! bon bah ca n'en vaut pas la peine alors!?

Citation :

L es courroies sont des organes de transmission, au même titre que les engrenages ou les chaînes à rouleaux. Leur rôle est de transmettre la puissance d’un organe tournant à un autre, c’est-à-dire le produit d’un effort par une vitesse ou un couple.

Le principe de fonctionnement des courroies repose sur deux éléments principaux :

* une surface de contact , dont l’importance est fonction de son coefficient de frottement, permettant de prélever le couple de la poulie motrice, de le transmettre à l’armature de traction et, ensuite, de le restituer aux poulies réceptrices de la transmission ;
* une armature , capable de transformer l’effort tangentiel prélevé sur la poulie motrice en un effort longitudinal de traction entre les poulies.

La combinaison de ces deux éléments caractérise l’effort transmissible, celui-ci étant directement lié à l’absence de glissement du premier et à la résistance à la traction du second. C’est pourquoi, actuellement, ces éléments sont le plus souvent constitués, d’une part, d’un élastomère et, d’autre part, de fibres synthétiques.

Bien qu’organe mécanique, la courroie permet, en raison de sa souplesse, une certaine imprécision de réalisation qui évite d’avoir recours à des solutions très sophistiquées, donc beaucoup plus coûteuses. Mais si la courroie est la solution la moins chère pour une transmission (absence de lubrification), elle est aussi d’une application quasi universelle grâce à la combinaison de ses différentes possibilités :

* multiplication ou réduction du mouvement selon le diamètre des poulies ;
* variation de vitesse avec des poulies à flasques mobiles ;
* inversion du sens de rotation par croisement des brins ;
* transmission à axes non parallèles avec des galets de renvoi ;
* débrayage avec un galet tendeur escamotable.

Par ailleurs, le principe de fonctionnement autorisant un glissement en cas de surcharge, la courroie amortit les vibrations et absorbe les à-coups , tout en servant de fusible en cas de blocage d’un élément de la transmission. Phénomène souvent oublié lorsque le fusible a sauté, on a tendance à lui attribuer pour cause un défaut de fabrication alors qu’une destruction prématurée peut aussi traduire un défaut de conception de la transmission ; comme en électricité, il ne suffit pas de mettre un fusible plus résistant pour supprimer l’anomalie de fonctionnement. L’illustration privilégiée de ces caractéristiques est le machinisme agricole où pratiquement tous les mouvements sont assurés par des courroies.

Les courroies se sont considérablement améliorées depuis leur origine. Il y eut d’abord la courroie plate , toujours appréciée pour les vitesses linéaires élevées et les faibles diamètres d’enroulement. Puis la recherche constante d’amélioration des performances et de l’encombrement des transmissions a conduit à la création de la courroie trapézoïdale en 1900, mais il fallut attendre la production industrielle des matériaux synthétiques, fibres et élastomères, pour assister à la percée technologique de cette solution dans les années cinquante.

Actuellement, on peut dire qu’aucun domaine n’échappe à la courroie : de l’électroménager aux plus gros variateurs industriels, où une seule courroie de 100 mm de largeur supporte jusqu’à 100 kW. Et le plus remarquable est que la fiabilité a évolué dans le même sens que la capacité de transmission de puissance.

Lorsqu’une courroie est correctement déterminée et utilisée, son rendement est de l’ordre de 98 à 99 % ; mais si les conditions de fonctionnement diffèrent des conditions optimales, cette valeur peut descendre jusqu’à 80 %. On conçoit donc l’intérêt de calculer correctement une transmission par courroies

c'est pas moi qui le dit, mais mÔssieur l'Ingénieur : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

amender13 a écrit:

Même si c'est bien fait, il y a une perte de 10 ch, c'est pas rien!

Christian

c'est pour ça que les Harley n'avancent pas

Jef a écrit:

c'est pour ça que les Harley n'avancent pas

Non, les Massey Fergusson n'ont jamais été faits pour aller vite, c'est pas leur but premier

efnefn a écrit:

Citation :

L es courroies sont des organes de transmission, au même titre que les engrenages ou les chaînes à rouleaux. Leur rôle est de transmettre la puissance d’un organe tournant à un autre, c’est-à-dire le produit d’un effort par une vitesse ou un couple.

Le principe de fonctionnement des courroies repose sur deux éléments principaux :

* une surface de contact , dont l’importance est fonction de son coefficient de frottement, permettant de prélever le couple de la poulie motrice, de le transmettre à l’armature de traction et, ensuite, de le restituer aux poulies réceptrices de la transmission ;
* une armature , capable de transformer l’effort tangentiel prélevé sur la poulie motrice en un effort longitudinal de traction entre les poulies.

La combinaison de ces deux éléments caractérise l’effort transmissible, celui-ci étant directement lié à l’absence de glissement du premier et à la résistance à la traction du second. C’est pourquoi, actuellement, ces éléments sont le plus souvent constitués, d’une part, d’un élastomère et, d’autre part, de fibres synthétiques.

Bien qu’organe mécanique, la courroie permet, en raison de sa souplesse, une certaine imprécision de réalisation qui évite d’avoir recours à des solutions très sophistiquées, donc beaucoup plus coûteuses. Mais si la courroie est la solution la moins chère pour une transmission (absence de lubrification), elle est aussi d’une application quasi universelle grâce à la combinaison de ses différentes possibilités :

* multiplication ou réduction du mouvement selon le diamètre des poulies ;
* variation de vitesse avec des poulies à flasques mobiles ;
* inversion du sens de rotation par croisement des brins ;
* transmission à axes non parallèles avec des galets de renvoi ;
* débrayage avec un galet tendeur escamotable.

Par ailleurs, le principe de fonctionnement autorisant un glissement en cas de surcharge, la courroie amortit les vibrations et absorbe les à-coups , tout en servant de fusible en cas de blocage d’un élément de la transmission. Phénomène souvent oublié lorsque le fusible a sauté, on a tendance à lui attribuer pour cause un défaut de fabrication alors qu’une destruction prématurée peut aussi traduire un défaut de conception de la transmission ; comme en électricité, il ne suffit pas de mettre un fusible plus résistant pour supprimer l’anomalie de fonctionnement. L’illustration privilégiée de ces caractéristiques est le machinisme agricole où pratiquement tous les mouvements sont assurés par des courroies.

Les courroies se sont considérablement améliorées depuis leur origine. Il y eut d’abord la courroie plate , toujours appréciée pour les vitesses linéaires élevées et les faibles diamètres d’enroulement. Puis la recherche constante d’amélioration des performances et de l’encombrement des transmissions a conduit à la création de la courroie trapézoïdale en 1900, mais il fallut attendre la production industrielle des matériaux synthétiques, fibres et élastomères, pour assister à la percée technologique de cette solution dans les années cinquante.

Actuellement, on peut dire qu’aucun domaine n’échappe à la courroie : de l’électroménager aux plus gros variateurs industriels, où une seule courroie de 100 mm de largeur supporte jusqu’à 100 kW. Et le plus remarquable est que la fiabilité a évolué dans le même sens que la capacité de transmission de puissance.

Lorsqu’une courroie est correctement déterminée et utilisée, son rendement est de l’ordre de 98 à 99 % ; mais si les conditions de fonctionnement diffèrent des conditions optimales, cette valeur peut descendre jusqu’à 80 %. On conçoit donc l’intérêt de calculer correctement une transmission par courroies

c'est pas moi qui le dit, mais mÔssieur l'Ingénieur : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tout à fait d'accord, pour avoir fait trente ans de fabrication mécanique, c'est à dire toutes sortes de machines diverses, je sais que la courroie est finalement le meilleur compromis entre vitesses élévées et charges importantes. Et une courroie crantée a un rendement très élevé en permanence, une chaine ne l'a que si elle est bien lubrifiée et surtout en bon état, si elle est allongée c'est mort.
Par contre si c'est joli 2000€ c'est de la folie.
Et pour ce qui est d'en faire fabriquer à un prix abordable, oui mais il faudrait en faire pas mal, je pense au moins cinquante. A l'unité, même pas la peine d'y penser.

Moi quand je dis qu'il y a une perte de 10ch, c'est parce que j'avais lu un article il y a quelques années sur la modif sur un xjr (avec le kit spécial qui va bien) et après mesure au banc, ils notaient la différence de 10ch.
Maintenant, il en existe peut-être d'autres kits plus efficaces.

christian

bah si j'arrive a avoir les bonnes cotes je pense arriver a en avoir un bon prix... je vai aller les voir cette aprem pour avoir une idée du prix!

r'alain moi je veux bien la photo et aussi les details de la courroie! genre longeur et surtout la taille des dents... merci

luckyboy91 a écrit:

r'alain moi je veux bien la photo et aussi les details de la courroie! genre longeur et surtout la taille des dents... merci

Il faut juste la référence de la courrie et après c'est normalisé, ça donne toutes cotes de taillage des "dents". Et aussi le nombre de dents des pignon et couronne.

ah ok! c'est pour le devis! le mec m'a demandé la taille et le nombre de dents et le diametre de la couronne et du pignon!

luckyboy91 a écrit:

ah ok! c'est pour le devis! le mec m'a demandé la taille et le nombre de dents et le diametre de la couronne et du pignon!

Tu nous diras le résultat de ton devis, ça m'intéresse.

Et aussi les références de la courroie et les nombres de dents.Je peux essayer d'en demander un dans mon ancienne boîte

yes pas de problemes! j'ai envoyé un mail en alemagne pour leur demander des infos! j'espere avoir une reponse!